En voyage, un bon objectif peut faire toute la différence Mon intérêt pour la réalisation de belles photos de voyages est plutôt récent (par rapport à la création du blog). Il date de l’an dernier. Au départ, je me contentais d’écrire. Pourtant, comme le dit le proverbe, une belle image vaut 1000 mots et mon chemin m’a conduit à rencontrer Aurélie du blog Madame Oreille. Cela change votre approche de la photo ! Je ne suis pas un pro, je ne suis qu’un amateur éclairé (et encore) et je prends plaisir à approfondir chaque jour les codes de ce nouveau moyen d’expression. Je vous livre ici mon ressenti concernant l’objectif ainsi que quelques photos faites lors de mes voyages : Rep. Tchèque, Islande, New York, Pologne… (en deuxième partie)
Mon avis sur le Tamron 18-270mm F/3.5-6.3 Di II VC PZD
Ce fut notre 2ème objectif après celui fournit avec le Canon 50D. (un 17-85mm).
Pour quelqu’un qui s’initiait à la photo comme moi, je peux vous dire que ce fut un énorme changement 🙂 C’est comme si on me donnait de nouveaux yeux !
Les plus de l’objectif :
- compact
- léger (450 gr)
- un stabilisateur
- polyvalent
- silencieux
- rapide pour le focus
- un bon zoom (15x)
Les quelques défauts que j’ai pu remarqué :
Un peu léger en basse lumière et sur les bords de l’image.
Mais bon, pour sa défense f3.5-6.3 ce n’est pas un 50mm f1.8 (idéal pour les portraits). On ne peut pas non plus tout avoir et de toute manière, je ne fais pas de grands tirages. De fait, concernant les bords, un recadrage de l’image suffit en post-traitement.
Pour le reste, dans ma pratique de photo en amateur, alors que mon but premier était de pas m’encombrer, j’en fus plus que satisfait.
L’utilisation du Tamron en voyage : quelques photos
J’a fais une utilisation polyvalente. De tous temps, en toute saison. Dans des conditions difficiles et le Tamron 18-270mm ne m’a jamais déçu.
A Chisnau, en Moldavie.
En Hongrie, juste pour que vous voyez l’effet de dégradé du flou à faible distance qui est aussi sympa.
En Islande. Super utile aussi pour “attraper” les baleines 😉
En Grèce.
En Espagne, à Bilbao. Pays des délicieux pinxtos 😉
En République Tchèque, au ski.
Et encore récemment à New York où faisant mes amplettes dans la caverne d’Ali-baba de la photographie : le magasin B&H. J’ai d’ailleurs craqué pour l’acquisition d’un Canon 5d Mark 2 d’occasion avec l’objectif Canon 24-70 mm f2.8 L. Au départ, je pensais sincèrement acheter l’équivalent en Tamron d’occasion car j’étais déjà très content du 18-270 et l’équivalent Tamron du 24-70mm chez Canon avait de très bonnes recommandations. (et ils coûtait aussi 1400$ de moins que le Canon neuf, ce n’est pas rien ! Le prix joue aussi) mais ils ne l’avaient plus le jour de l’achat (ils en avaient encore 2 la veille !) Les Tamron partent comme des petits pains ma parole 🙁 Bref, comme ils avaient un objectif Canon d’occasion, j’ai pris celui-là.
Au final, comme vous pouvez le voir, le Tamron 18-270mm m’a été très utile, même pour un amateur comme moi. Il n’y a certes pas de portraits car pour ceux-là, je réserve l’objectif 50mm f1.8.
Une bonne acquisition donc !
Pour moi qui commence avec les réflexs digitaux (j'ai sauté le pas,depuis un bridge), je suis contente de l'avoir lue... Je vais me renseigner sur le Tamron, pour apprendre à bien manipuler mon appareil, j'ai besoin d'un objetcitif qui soit versatile.