Je ne m’imaginais pas aller au Japon et ne pas grimper au sommet du Mont Fuji. Cela sonnerait comme aller à Paris en évitant des yeux la tour Eiffel. De fait, je suis bien monté jusqu’au sommet. Rien n’est difficile, tout est dans le mental. Ayant croisé des personnages âgées ainsi que des enfants au retour, pour y parvenir, allez-y simplement mais sûrement.
Galerie photo, liens et infos utiles à la fin de l’article
Se préparer à grimper le Fujisan
Il est intéressant de lire des avis opposés. Il y a les inconditionnels de la “touriste débile attitude” sur le ton de “c’est qu’une attraction à touristes, allez-y en tongs et t-shirt ça suffit amplement” et eux qui sont aussi prévoyant qu’un japonais se préparant pour une épopée digne de l’Everest. Je pense qu’il faut se caler entre les deux.
Le mont Fuji reste un volcan dont l’altitude est de 3776 mètres et ceux qui connaissent les montagnes savent qu’il ne faut pas sous-estimer les caprices de la météo et du vent (que nous avons par ailleurs expérimenté). De fait, mieux vaut être prêt que pas assez. Point besoin cependant de se préparer pour un trek de plusieurs jours.
Cher lecteur, l’article a été déplacé sur mon blog outdoor 1001pas. Tu peux y lire la suite.
Pour lire la suite de l’article sur le blog outdoor 1001-pas.fr
Joli challenge !
Depuis, il y en a eu bien d’autres. gr20, Ascension du Kilimandjaro… et des projets à venir !
On peut dire que vous avez fait un exploit, bravo ! Ç’a été un plaisir de lire ce récit !
Joli, ça n’avait pas l’air si simple comme défi !
Bon courage à toi Piotr et que du bonheur avec la grace de dieu , fais nous réver plus et en passant j ‘adore le nouveau design du blog 😉
Beau récit ! Il me rappelle un peu celui de mon ascension du Mont Taranaki, le sosie néo-zélandais du Mont Fuji. “Seulement” 2 518 mètres mais on entend la même chose alors que, non, on ne peut pas y aller en tongs et en tee-shirt. En été, j’ai eu de la neige au sommet et l’ascension est un peu technique, balisée mais sans sentier, et la météo change d’une heure à l’autre.
Au sommet, je ne voyais rien non plus, seulement une mer de nuages après une longue traversée dans le brouillard. “Mais on l’a fait.” Cette phrase résume parfaitement l’état d’esprit de ce genre d’ascension. On l’a fait et on en est heureux, voilà.
Petits pas par petits pas, avec l’expérience… je pense que l’on peut tout faire. En tout cas, je ne me fixe pas de limites…
Je n’imagine pas aussi vous voir en Japon et ne pas faire ce défit cela n’est pas de vos coutume de faire le touriste normal quoi 😉 j’avoue que je regarde plus es photos que de lire l’article, ils démontrent tous la belle vie, je ne peux vous souhaiter que la bonne santé pour continuer à faire vos défit et nous les faire partager par conséquent
Bravo
Les défis, c’est la vie.
Un petit défi par voyage le pimente un peu… je pense encore plus les orienter dans ce sens !
Mais tu es fou à faire tous ces voyages, une folie que j’adore, ô combien j’aimerai être à vos côté et prendre du plaisir à tous simplement vivre pleinement chaque instant de la vie
je vous en remercierai jamais autant pour vos partage sans oublier les photos;) les nuages comme jamais je l’ai ai vu !!!!!!
Tu verras encore plus de nuages dans de prochains voyages… s’il faut être fou pour aimer voyager alors oui, je suis fou… 🙂
Encore un très beau récit de voyage. Je rêve de gravir le Mont Fuji.
Merci Julien. Il suffit d’aller au Japon et de le vouloir ;0
Et bien, on peut dire que quand tu as décidé d’aller quelque part, tu y vas Piotr. Respect pour une telle volonté. Je peux être têtu mais je ne suis pas certain de l’être autant 😉
On a tous la volonté… il suffit d’aller au bout 😉